Musée des Beaux-Arts de Lyon
Le musée des Beaux-Arts de Lyon est un musée municipal localisé près de la place des Terreaux dans un ancien couvent de Bénédictines.
Catégories :
Classé monuments historique (France) - Musée des Beaux-Arts de Lyon - Site touristique de Rhône-Alpes
|
||
---|---|---|
|
||
Informations géographiques | ||
Coordonnées | ||
Pays | France | |
Localité | Lyon | |
Informations générales | ||
Date d'ouverture | 1801 | |
Collections | Antiquités égyptiennes Peintures du XVe siècle au XXe siècle |
|
Informations visiteurs | ||
Visiteurs / an | ||
Adresse | 20, place des Terreaux 69001 Lyon |
|
Site officiel | Site officiel | |
Le musée des Beaux-Arts de Lyon est un musée municipal localisé près de la place des Terreaux dans un ancien couvent de Bénédictines. De 1988 à 1998 le musée subit d'importants travaux de rénovation mais reste néanmoins ouvert au public. Ses collections, qui embrassent une période comprise entre l'Égypte antique et l'art moderne, en font l'un des plus importants musées européens. Des expositions temporaires y sont proposées toute l'année. Une exposition rassemblant les œuvres de Braque et de Laurens durant la seconde moitié et de l'année 2005, puis une exposition sur l'œuvre de Géricault d'avril à juillet 2006, ont remporté un succès énorme.
Le bâtiment
Du couvent au musée
L'abbaye
Jusqu'en 1792, les bâtiments ont appartenu à l'abbaye royale des Dames de Saint-Pierre construite au XVIIe siècle. L'abbesse, issue de la haute noblesse, y reçoit des personnalités du royaume. Ce détail illustre l'orientation spécifiquement aristocratique de l'institution. Le bâtiment a été rénové sous Louis XIV, au XVIIe siècle. L'état actuel du palais Saint-Pierre est beaucoup tributaire de ces travaux. Le réfectoire baroque et le monumental escalier d'honneur, dit Thomas Blanchet, ont été réalisés à cette occasion. L'expulsion des religieuses et la destruction de l'église Saint-Saturnin datent de la Révolution française. L'autre église de l'abbaye, l'église Saint-Pierre, existe toujours et accueille désormais les sculptures du XIXe siècle et du XXe siècle.
Le Palais du commerce et des Arts
Après la Révolution les bâtiments accueillent le Palais du Commerce et des Arts. L'institution accueille tout d'abord des œuvres confisquées au clergé ainsi qu'à la noblesse. Par la suite, son orientation devient pluridisciplinaire. Elle abrite ainsi, par exemple, des collections d'archéologie, d'histoire naturelle et l'Académie des Sciences et des Lettres. L'École impériale de dessin est créée en 1805 au sein du Palais du Commerce et des Arts pour apporter des dessinateurs à l'industrie de la soierie lyonnaise. Il en naît une école de peintures devenue célèbre ensuite. En 1860, la Chambre de Commerce quitte le Palais Saint-Pierre. L'établissement se nomme désormais Le Palais des Arts. À partir de 1875, les collections du musée connaissent une expansion remarquable. Il s'ensuit de nouveaux travaux d'agrandissement. L'escalier réalisé par Pierre Puvis de Chavannes date de cette époque.
Le Musée des Beaux-Arts
Le début du XXe siècle est marqué par une ouverture énorme des collections. Le Palais des Arts devient alors Musée des Beaux-Arts. Après plusieurs rénovations, c'est au milieu des années 1990 que le bâtiment prend son agencement actuel.
Jardin
Ce jardin municipal prend place au cœur de l'ancien cloître de l'abbaye bénédictine. Localisé en plein centre ville, sur la presqu'île, il est spécifiquement aimé des Lyonnais pour son calme et son atmosphère reposante.
Réfectoire baroque
Le réfectoire baroque, réalisé au XVIIe siècle et rénové depuis, sert actuellement à l'accueil des groupes. Il est surtout orné de deux peintures monumentales se faisant face de chaque côté de la pièce. Chacune de ses peintures à un sujet lié au thème du repas, selon la destination du lieu. Il s'agit de la Multiplication des pains et de La Cène de Pierre-Louis Cretey. Le reste du décor, constitué de sculptures, a été réalisé par Nicolas Bidaut et Simon Guillaume.
Les départements
Peintures
Le département des peintures propose des peintures européennes du XIVe siècle jusqu'à la seconde moitié du XXe siècle. Les œuvres y sont classées chronologiquement et par grandes écoles dans trente cinq salles.
Parmi les points forts de cette collection, il faut noter :
- la peinture française, surtout du XVIIe siècle (Simon Vouet, Nicolas Poussin, Charles Le Brun, Philippe de Champaigne, Eustache Lesueur, Hyacinthe Rigaud, François Boucher, Claude Joseph Vernet etc. ).
- la peinture française du XIXe siècle et du début du XXe siècle (Ingres, Géricault, Delacroix, Courbet, Corot, Manet, Gauguin, Degas, Cézanne, Renoir, Sisley, Braque, Matisse etc. ) ;
- la peinture italienne du Quattrocento (XVe siècle) et du XVIe siècle (surtout vénitien) jusqu'au (XVIIIe siècle) (Pérugin, Lorenzo Costa, Pierre de Cortone, Le Corrège, Véronèse, Tintoret, Guido Reni, Le Guerchin, Salvator Rosa, Luca Giordano, Canaletto, Guardi, Giandomenico Tiepolo etc. ) ;
- la peinture espagnole du XVIIe siècle (Antonio de Pereda, Jusepe de Ribera, El Greco, Francisco de Zurbarán) ;
- la peinture allemande, flamande et hollandaise du XVe siècle au XVIIe siècle (Lucas Cranach l'Ancien, Gérard David, Joos Van Cleve, Quentin Metsys, Brueghel l'Ancien, Rembrandt, Rubens, Van Dyck, Jordæns, David Teniers le jeune, Gerard ter Borch, Adriæn Brouwer etc. ) ;
- la peinture de l'École de Paris du XXe siècle (Jean Bertholle, Jean Le Moal, Alfred Manessier, Gustave Singier, etc. ) et du XXe siècle généralement (Pablo Picasso, Fernand Léger, Joan Miro, Kees Van Dongen, Pierre Bonnard, Maurice Denis, Raoul Dufy, Nicolas de Staël, Marc Chagall, Alexi von Jawlensky, Francis Bacon)
La Nativité, Lorenzo Costa (vers 1490) |
Vierge à l'Enfant entourée d'anges, Quentin Metsys (vers 1509) |
Danaé, Le Tintoret (vers 1570) |
Bethsabée au bain, Véronèse (vers 1575) |
La Crucifixion, Simon Vouet (vers 1636-37) |
Saint François d'Assise, Francisco de Zurbarán (vers 1645) |
Danseuses sur scène, Edgar Degas (vers 1889) |
Nave nave mahana, Paul Gauguin (1896) |
Sculptures
Le département des sculptures est divisé en deux sections :
- le Moyen Âge et la Renaissance ;
- le XIXe siècle et le début du XXe siècle.
Ces deux sections sont scindées dans le musée : La première est localisée au 1er étage alors que les sculptures plus récentes se trouvent dans la chapelle. Des sculptures françaises du XIXe siècle sont aussi visibles dans le jardin public.
On trouve surtout dans le jardin :
- deux sculptures de Rodin : L'ombre ou Adam (1902) et La tentation de saint-Antoine (1900) ;
- une sculpture de Léon-Alexandre Delhomme représentant Démocrite méditant sur le siège de l'âme (1864) ;
- une sculpture d'Emile Antoine Bourdelle représentant Carpeaux au travail (1909) ;
- une Vénus (1918-1928) d'Aristide Maillol ;
- une Odalisque (1841) de James Pradier,
- un groupe d'Antoine Etex représentant Caïn et sa race maudits de Dieu
Au premier plan : statue L'ombre ou Adam de Rodin et , au second plan, celle de Léon-Alexandre Delhomme représentant Démocrite méditant sur le siège de l'âme |
Carpeaux au travail, sculpté par Antoine Bourdelle, en hommage à Jean-Baptiste Carpeaux (jardin du Musée) ]] |
Antiquités
L'Égypte
L'Égypte forme le thème principal du département des Antiquités. Cette place s'explique par l'importance historique de l'égyptologie à Lyon, animée par des hommes tels que Victor Loret dont la famille a fait don au musée en 1954 qui plus est d'un millier d'objets. Dès 1895, le musée du Louvre apporte près de quatre cents objets (vases à onguent, figurines funéraires, etc. ) pour former le fonds du département ; d'autres objets (vases canopes, éléments de parure, mais aussi des tissus de la nécropole d'Antinoé) complètent ce dépôt quelques années plus tard, augmenté, en 1936, d'objets provenant du village des artisans de Pharaon à Deir el-Médineh.
Les points forts de cette section sont la vitrine des sarcophages et les portes de Ptolémée III et IV du temple de Médamoud ramenées par le lyonnais Alexandre Varille en 1939. Le reste des objets donne un aperçu de la vie quotidienne en Égypte antique.
Les presque deux mille six cent pièces de la collection d'œuvres égyptiennes conservé au musée des Beaux-Arts de Lyon est exposé dans neuf salles, suivant un parcours à la fois thématique et chronologique :
- Salle 1 - la vie au-delà de la mort :
Plongée dans la pénombre, la première salle nous fait découvrir les pratiques funéraires des anciens Égyptiens à travers une belle collection de cercueils allant de l'Ancien Empire à la Basse époque, des vases canope renfermant les viscères du défunt, un ensemble de cent-deux ouchebtis de l'ensemble des époques mais aussi cent-cinquante-cinq amulettes aux sujets particulièrement variés. On peut toujours citer, entre autres œuvres, le fragment du tombeau de Bakenranef ramené de Saqqarah, datant de l'époque saïte, mais aussi le linceul d'époque romaine.
- Salle 2 - le divin et les rites :
Nous entrons désormais dans une salle toute en longueur qui recrée le décor d'un temple, avec en point d'orgue les portes de Ptolémée III et IV du temple de Montou de Médamoud. Celle de Ptolémée III est fragmentaire, mais conserve une partie de sa polychromie d'origine, tandis que celle de son successeur est presque complète.
Les autres bas-reliefs que nous découvrons dans cette salle proviennent de Coptos : huit sont datés du Moyen Empire et proviennent du temple de Min. Ils furent découverts par Adolphe Reinach en 1909 dans les fondations d'un édifice tardif. Onze autres fragments remontent à la fin de l'époque ptolémaïque, et plus exactement au règne de Cléopâtre VII.
Même si la statuaire pharaonique est particulièrement peu représentée au musée, le fragment de la statue de Ramsès VI en granite rose et l'ébauche de statue de l'empereur Commode en pharaon documentent quelque peu cet aspect de l'art égyptien.
- Salle 3 - le culte du divin :
On accède à cette salle par la porte de Ptolémée IV. Au centre, on découvre un support de barque ou de statue datant du règne de Ptolémée II. Dans les murs sont exposés trois fragments de bas-reliefs de la XVIIIe dynastie, trouvés eux aussi à Coptos.
- Salle 4 - les images et les emblèmes du divin :
Les trois vitrines de cette salle renferment une belle collection de statuettes en bronze de bon nombre de divinités du panthéon égyptien, avec surtout une très rare représentation de Hâpy, le dieu du Nil, datant de la Basse époque. Une vitrine entière et consacrée aux représentations d'Osiris et une autre à celles du pharaon. On peut y voir une jolie tête de pharaon de la XXXe dynastie, attribuée à Nectanébo II, un buste de roi du Moyen Empire, caractérisé par ses oreilles exorbitantes, ou encore un scarabée au nom d'Amenhotep II.
- Salle 5 - pharaon et ses serviteurs :
Dans cette salle sont conservés dix-huit modèles en bois de la XIIe dynastie, provenant d'Assiout. Positionnés dans les tombes, ils reproduisent des scènes de la vie quotidienne, comme la fabrication de la bière ou une vache vêlant.
En face de la vitrine contenant ces modèles, nous trouvons une vitrine consacrée à l'écriture et une autre aux serviteurs du pharaon. Cette dernière dévoile entre autres une belle représentation d'un couple anonyme de l'Ancien Empire en calcaire, un buste d'homme de l'époque ptolémaïque et un fragment de statuette de scribe accroupi.
- Salle 6 - les stèles :
Réparties autour d'une statue d'Osiris en bois se trouvent quatre stèles du Moyen Empire, huit du Nouvel Empire et quatre de l'époque romaine. L'une des plus belles est la stèle de Ptahmès, grand prêtre d'Amon, vizir de Thèbes et chef des travaux d'Amenhotep III, qui conserve des traces de polychromie.
- Salle 7 - la vie quotidienne :
Commençons par les vitrines de droite en rentrant : la première contient quatorze vases de l'époque protohistorique et prédynastique, alors que la seconde présente des vases sur une période étalée du Nouvel Empire à la Basse époque.
La grande vitrine qui leur fait face dévoile quelques pièces uniques, comme la stèle de Nes-Henou, datant de la IIe dynastie ou la magnifique tête d'homme en bois de la XVIIIe dynastie, qui ornait peut-être une harpe. Sinon, on trouve dans cette vitrine une foule d'objets du quotidien, comme des sandales, miroirs, bijoux... et même un tabouret.
- Salle 8 - l'Égypte et les Grecs - l'Égypte et Rome :
L'influence grecque et romaine dans l'art égyptien se fait spécifiquement ressentir dans les œuvres privées, comme en témoigne la série de figurines en terre cuite reprenant les dieux égyptiens sous des traits hellénisants. Dans cette salle, on trouve aussi cinq stèles funéraires d'influence palmyrénienne des IIe et IIIe siècles de notre ère, découvertes à Coptos.
- Salle 9 - l'Égypte et l'Empire Romain - la chrétienté Copte
La dernière salle consacrée à l'art égyptien présente de beaux masques funéraires en plâtre doré d'époque romaine. Enfin, la période copte est illustrée par des bas-reliefs, des patères, et plusieurs tapisseries, dont un fragment du célèbre «châle de Sabine».
Statuette d'Horus enfant, Basse Époque |
Proche et Moyen-Orient
Réunies dans une unique salle, les collections évoquent dans un premier temps trois grandes civilisations de Mésopotamie et du Moyen-Orient à travers des sceaux-cylindres, des tablettes d'argile et des bas-reliefs :
On trouve ensuite des bronzes du Luristan, des céramiques et statuettes chypriotes et un bel ensemble d'objets provenant de Syrie, comme un sarcophage anthropoïde en marbre et des bas-reliefs.
Clou de fondation, Lagash, vers 2120 av. J. -C. |
Relief représentant les dieux de Palmyre, 121 ap. J. -C. |
Grèce et Italie antiques
En particulier connue des Lyonnais, la statue en marbre de korê («jeune femme» en grec) du VIe siècle av. J. -C. , provenant de l'Acropole d'Athènes, est un chef-d'œuvre du département des antiquités. Une salle entière lui est consacrée.
Une seconde salle est dédiée à la civilisation grecque : elle rassemble une belle série de vases attiques à figures noires ou rouges, des bronzes et des figurines en terre cuite de Tanagra.
Enfin, une petite salle est consacrée à la Grande Grèce, c'est-à-dire aux colonies grecques établies en Italie du Sud, avec ici encore de nombreuses céramiques et des casques en bronze.
Dans la salle suivante, la civilisation Étrusque, du VIIIe siècle au IIe siècle av. J. -C. , est illustrée par des vases en bucchero (céramique à pâte noire) et des bronzes.
La sculpture romaine est aussi présente à travers plusieurs ensembles : des sculptures en marbre (un torse de Vénus, un enfant au coq, des statues de personnages drapés, etc. ) et aussi de petites figurines en bronze de dieux et déesses (Mercure, Vénus, Mars, etc. ) ou d'objets familiers.
Objets d'art
Le département des Objets d'art du musée des Beaux-Arts de Lyon recèle de véritables merveilles allant du Moyen Âge au XXe siècle :
- ivoires byzantins aux émaux peints de Limoges,
- décors des faïences et majoliques de la Renaissance,
- chambre Art Nouveau d'Hector Guimard,
- arts de l'Islam,
- céramiques extrême-orientales.
La galerie des objets d'art comprend depuis 1917, des grès de Chine, de Corée et du Japon. Des pièces rares illustrent le rituel de la cérémonie du thé.
À côté de ces œuvres sont exposées des céramiques d'Art Nouveau qui s'inspirent beaucoup de l'art du grès japonais.
Tondino en céramique d'Iznik, v. 1530-1540 |
Médaillier
Le médaillier de Lyon est le deuxième médaillier de France après le Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France, à Paris. Il conserve près de 50 000 objets : monnaies, médailles, sceaux, etc. Il est connu au niveau européen et tient une place prépondérante dans la numismatique mondiale allant du début du XIXe siècle aux récentes découvertes des trésors des Terreaux et des Célestins[1].
Tête d'Aréthuse, |
Sesterce en bronze d'Antonin le Pieux |
Arts graphiques
Le cabinet d'Arts graphiques regroupe des œuvres sur papier : dessins, estampes, gravures, etc. Ces œuvres ont comme point commun d'être basées sur le trait, par opposition à la couleur. Cependant, le cabinet comprend aussi des aquarelles.
C'est en tout près de 4 000 œuvres qui sont conservées dans ce département. Sa création date du début du XIXe siècle siècle. La collections comprend surtout des œuvres de Puvis de Chavannes, Filippino Lippi, Parmigianino, Fra Bartolomeo, Leonetto Cappiello ainsi qu'une étude remarquable de Albrecht Dürer.
Publication
En 1952, à l'initiative de René Jullian, est créé le «Bulletin des musées lyonnais». En 1960 cette publication change de titre et devient le «Bulletin des musées et monuments Lyonnais». En 2003, il change de périodicité en devenant annuel et s'intitule alors «Cahiers du musée des Beaux-Arts de Lyon».
Liens externes
Le Palais Saint-Pierre fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 8 août 1938[2]. |
Notes et références
- ↑ Site internet du musée des Beaux-Arts : échantillon de médailles représentatives de la richesse de ce médaillier.
- ↑ Base Mérimée
Ce site est alimenté par la station de métro : Hôtel de Ville - Louis Pradel. |
Le musée est aussi accessible par la ligne C3 à l'arrêt Terreaux.
Recherche sur Google Images : |
"Musée des Beaux Arts," L'image ci-contre est extraite du site comprendre.bloguez.com Il est possible que cette image soit réduite par rapport à l'originale. Elle est peut-être protégée par des droits d'auteur. Voir l'image en taille réelle (749 x 537 - 31 ko - )Refaire la recherche sur Google Images |
Recherche sur Amazone (livres) : |
Voir la liste des contributeurs.
La version présentée ici à été extraite depuis cette source le 22/11/2009.
Ce texte est disponible sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL).
La liste des définitions proposées en tête de page est une sélection parmi les résultats obtenus à l'aide de la commande "define:" de Google.
Cette page fait partie du projet Wikibis.